Les élastiques

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il y a 4 ans

J'ai appliqué ce traitement à ma soumise Sophie qui s'était rendue coupable de désobéissance caractérisée. Sophie ne travaille pas et entretien notre maison fort bien d'ailleurs. Sophie sait très bien qu'à notre domicile elle doit être en permanence nue sous une robe ample et que la masturbation en dehors de ma présence lui est interdite.

Je rentre un soir plus tôt que prévu et la découvre sous la douche. Je m'approche sans bruits et qu'elle n'est pas ma surprise de la voir occupée à se donner du plaisir avec un olisbos qu'elle agite frénétiquement entre ses jambes. De plus jonchent le sol, un slip et un soutien gorge prouvant que ma soumise a désobéi et s'est affublée des vêtements interdits.

J'ouvre brusquement la porte de la douche elle me regarde effrayée et laisse tomber son jouet. A ma question concernant la présence de ses sous vêtements et de son occupation elle me répond qu'elle a les seins endoloris de la dernière punition donnée, le sexe irrité de son épilation à la cire et que pour se soulager elle a mis une culotte et un soutien gorge pour se mettre de la pommade et ne pas tâcher sa robe.

Quant à sa masturbation après des balbutiements incohérents, elle ne peut apporter d'explications pour justifier sa désobéissance.

Je lui annonce qu'elle recevra une punition mémorable vendredi prochain sans en préciser la teneur et sans demander son reste elle se dirige vers la cuisine préparer le repas.

Le soir venu, elle sait très bien que je ne suis pas du genre à oublier mes promesses, nous nous rendons dans notre pièce spéciale, équipée pour nos jeux érotiques d'un chevalet, d'un lit a barreaux et d'anneaux judicieusement placés pour attacher dans toutes les positions possibles ma soumise.

Après l'avoir priée de se mettre nue, je lui attache les poignets dans le dos au moyen de menottes en cuir reliées par un anneau rapide et lui place une barre d'écartement entre les chevilles. Elle est là devant moi, ouverte et toute frémissante de l'angoisse de la suite. Au sol à l'aplomb de son sexe, deux anneaux écartés d'une vingtaine de centimètres sont scellés au sol.

Sur chacun de ses mamelons, je pose une pince à linge. Elle grimace, mais habituée n'émet pas de plainte. Lorsque je place deux nouvelles pinces sur la mâchoire des premières pour serrer d'avantage, elle proteste et grimace de douleur.

Nous avons de maintes fois expérimentée cette attache et des poids de plus d'un kilo peuvent être accrochés sans que les pinces ne glissent. La même opération est effectuée sur les lèvres de son sexe. A chaque pince je place un élastique.

Au moyen d'une corde fine, les élastiques qui pendent des pinces de son sexe sont reliés aux deux anneaux du sol de façon à ce que Sophie soit obligée de plier ses genoux pour que ses lèvres ne soient pas trop tirées.

Les élastiques des seins sont reliés eux à un anneau fixé au plafond. Pour tenter de soulager la douleur de ses seins tirés vers le haut, elle doit se soulever au maximum mais alors ses lèvres vaginales sont fortement étirées et pour soulager ses lèvres vaginales elle doit se baisser et supplicier ses seins.

Après quelques instants, elle trouve une position intermédiaire lui permettant de supporter la douleur lancinante qui se diffuse dans sa poitrine et son sexe.

Une dizaine de minutes plus tard je défais les attaches des cordes qui tirent les seins et les lèvres vaginales de Sophie ; elle peut ainsi se redresser et enfin soulager la tension de ses jambes tremblantes sous l'effort. Je lui couvre les yeux d'un foulard afin de lui cacher le vue et place entre ses jambes ouvertes un bel olisbos qui affleure l'entrée de son sexe.

Les cordes maintenant ses grandes lèvres sont rattachées un peu plus tendues que la première fois et sous leur tension obligent M à plier les genoux et ainsi faire pénétrer la bite factice dans son vagin ruisselant des premiers exercices jusqu'à ce qu'elle touche son utérus.

Maintenant, ma chérie, ta véritable punition va commencer. Puisque tu aimes tant te masturber, je vais t'en donner l'occasion. Tu vas t'agiter sur cet olisbos jusqu'à ce que tu jouisses et pour m'avoir désobéis, tu recevras ensuite pour chaque minute écoulée, avant ta jouissance, 10 coups de martinet sur les fesses et le sexe et ne fais pas semblant sinon je double la punition. Tu es prête alors fais au plus vite sinon tes fesses seront douloureuses à la fin de la séance.

Sophie, aussitôt, commence ses mouvements de haut en bas, mais quand elle se soulève, malgré son excitation, l'étirement de ses lèvres est tel que la douleur l'empêche d'arriver rapidement à la jouissance. Après plusieurs minutes de cet exercice épuisant, elle s'abandonne enfin à l'orgasme et reste fichée et épuisée sur ce sexe factice enfoncé au plus profond d'elle même.

  • Le résultat n'est pas fameux – plus de cinq minutes – tu connais la suite …..

Je lui retire le sexe factice de son vagin et attache les cordes qui pendent de ses seins aux mêmes anneaux que ceux qui maintiennent toujours ses lèvres étirées. Elle est obligée de se pencher en avant, de plier les genoux pour soulager ses seins et son sexe exposant ses fesses ouvertes aux lanières qui vont commencer leur danse. Comme d'habitude lorsque Sophie est fouettée dans cette position, les cinglages sont données par groupe de cinq.

Cinq sur les cuisses, cinq sur les fesses, cinq sur les seins et cinq sur l'entrejambe. Les deux premières séries sur les cuisses et les fesses sont bien supportées par Sophie. Les cinq coups suivants donnés sur le dessus des seins produisent des cris plus intenses et quand les lanières atteignent le sexe largement exposé les cris deviennent stridents. Sous l'impact du vingtième coup, le cinquième sur le sexe Sophie ne peut retenir un sursaut mais les pinces solidement fixées ne glissent pas et à la douleur du sexe fouetté se mélange la douleur des lèvres largement étirées.

Je laisse ma soumise se reposer quelques instants. Des larmes coulent à travers son bandeau et elle me supplie doucement de cesser la punition, qu'elle à compris, qu'elle ne recommencera pas et qu'elle est prête à accepter n'importe quoi plutôt que cette sévère flagellation.

Dans un geste apparent d'infinie bonté je la détache, lui enlève son bandeau ainsi que les pinces aux seins et au sexe ce qui lui cause une douleur soudaine qu'elle ne peut soulager ses poignets étant toujours attachés dans son dos.

Elle s'effondre et gémit.

Après plusieurs minutes de repos elle semble retrouver quelques f o r c e s et me demande humblement

  • Mon maître, dans votre infinie clémence, vous avez bien voulu abréger la punition que j'avais méritée mais il me reste 30 coups à recevoir. Je suis à votre disposition pour que la punition s'achève et elle se place à genou, les jambes largement écartées, la tête contre le sol attendant fébrilement que les coups reprennent.

C'est bien Sophie je suis fier de toi et j'ai décidé de te faire grâce des 30 derniers coups. Mais pour te faire passer définitivement l'habitude de te masturber sans mon autorisation, tu seras passée aux orties et tu devras te masturber avec les gants de crin

  • Oh non pas cela maître, dans l'état ou son mes seins et mon sexe, je ne pourrai le supporter.

  • Mais si, tu le supporteras et en plus le rouge te va si bien…

Prenant deux gants de crin, le les lui enfiles sur les mains et les attaches au niveau des poignets. Avec un bouquet d'orties fraîches, je caresse légèrement ses fesses qui se couvrent aussitôt d'une multitude de cloques blanches. Sophie comme électrisée se frotte avec les gants activant encore le douleur de ses fesses martyrisées.

  • Et maintenant masturbe toi si tu ne veux pas que ton sexe et tes seins subissent le même sort.

Elle glisse sa main droite entre ses jambes et commence à frotter sa fente et son clitoris rendus hyper sensibles par la fouettée et les élongations précédentes. Après quelque va et viens elle s'écroule en proie à un orgasme qui la laisse vidée et sans f o r c e à mes pieds. Je la prends dans mes bras, la couche délicatement sur le canapé ; le temps de prendre une couverture pour la protéger du froid elle dort déjà épuisée par cette séance.

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